Actualités

Dans cette rubrique, vous trouverez tout ce qui concerne les actualités des Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, notamment notre programmation culturelle, les actualités de la salle de lecture telles que les jours et les horaires d'ouverture, les fermetures exceptionnelles... mais aussi des articles sur les fonds remarquables conservés aux Archives départementales, l'image de la semaine, etc.

Au cœur d’une cellule locale du PCF de Saint-Ouen entre 1944 et 1946

Les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, un lieu ressource reconnu pour l’histoire du mouvement ouvrier et de l’engagement militant.

Depuis une trentaine d’années, la politique de collecte d’archives privées des Archives départementales comporte un axe dédié à ce champ spécifique. Cela tient à la volonté de documenter l’histoire contemporaine du territoire en tenant compte de sa « personnalité » : place du monde du travail (industrialisation, désindustrialisation), rôle des organisations s’en réclamant (implantation syndicale et politique, couleur politique des collectivités territoriales), vitalité du tissu associatif militant. Les archives de personnes et d’organisations qui présentent un intérêt original de ce point de vue sont donc volontiers accueillies pour être mises à la disposition du public intéressé, du chercheur spécialisé au citoyen curieux d’histoire sociale. Cet intérêt ne s’attache pas qu’à des fonds prestigieux ou emblématiques. De petits ensembles, voire des documents isolés, peuvent constituer des témoignages précieux pour approcher l’histoire des engagement militants, individuels et collectifs, dans le territoire de l’actuel département de la Seine-Saint-Denis.

Ainsi, ce cahier tenu par une cellule loacle du PCF de Saint-Ouen.

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Les cahiers citoyens

En 1789, les cahiers de doléances, en 2019, les cahiers citoyens : les Archives départementales publient l’inventaire des cahiers citoyens !

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Le fonds Pierre Trovel

Pierre Trovel est un photographe né en 1947 à Paris. Il débute sa carrière à l’orée des années 1960 au sein du service des Correspondants de l’Humanité, collectif de rédacteurs et de photographes amateurs et bénévoles qui transmet au quotidien communiste des informations locales

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Les correspondants de l'Humanité

Dès les années 1920, le quotidien l’Humanité se dote d’un réseau de correspondants ouvriers et paysans nommé « rabcor » (abréviation de l’expression russerabochiy korrespondent) qui perdure avec plus ou moins de régularité jusqu’en 1935.

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