En mai 1949, lors d'une conférence nationale consacrée à la formation professionnelle accélérée (FPA), la Fédération des industries du bâtiment, du bois et parties similaires, affiliée à la CGT et sise au 213, rue Lafayette à Paris (10e arr.), décide de créer un syndicat national du personnel des centres de FPA, adhérant à la fédération et regroupant les sections syndicales de ces centres.
Le syndicat commence à fonctionner le 1er janvier 1950 et, en attendant son congrès constitutif, est dirigé par un bureau provisoire composé des membres de la commission nationale de coordination de la FPA, élus lors de la conférence nationale de mai 1949, dont fait partie Louis Bourgeois qui sera ensuite le premier secrétaire général du syndicat.
Les 3 et 4 juin 1950 s'ouvre donc le premier congrès constitutif du Syndicat national du personnel des centres de formation professionnelle accélérée du bâtiment (SNPCFPAB), auquel sont conviés les délégués syndicaux CGT des centres de formation professionnelle présents sur tout le territoire français. Comme lors des congrès ultérieurs, un rapport d'activité général est présenté à l'assemblée et les statuts du syndicat sont adoptés (par la suite, les modifications de statuts seront également effectuées lors de congrès, instance souveraine du syndicat).
Le syndicat est inscrit le 1er juillet 1950 (entériné le 4 juillet 1950) au répertoire des syndicats professionnels de la Préfecture de la Seine sous le n°10 923[1]. Les premiers statuts stipulent qu'il a pour premier but « de défendre et soutenir, sur le plan social et moral, tout le personnel des centres de formation professionnelle accélérée », centres qui sont gérés, depuis le décret 49-39 du 11 janvier 1949, par l'Association nationale interprofessionnelle pour la formation rationnelle de la main-d'œuvre (ANIFRMO). L'institution du syndicat national fait donc écho à la création de l'ANIFRMO, qui est désormais la seule association de statut « Loi de 1901 » habilitée à gérer au plan national les centres de formation professionnelle accélérée.
Dans l'un et l'autre cas, il ne s'agit pas d'une création ex nihilo. De même qu'au niveau syndical existait déjà une représentation de la formation professionnelle, les centres de FPA ainsi que les associations chargées de leur gestion préexistaient à la création de l'ANIFRMO. Pour en comprendre la réalité, il est nécessaire de faire un retour en arrière.
Les premiers centres de formation professionnelle
En 1949, les centres de formation professionnelle accélérée (FPA) ont donc déjà une histoire, qui, pour n'être pas linéaire, n'en est pas moins effective. Avant la Seconde Guerre mondiale, les premiers essais de formation professionnelle sont mis en place dans des centres privés dépendant d'un patronat soucieux de fournir à la production de nouveaux ouvriers qualifiés, appuyés par des mesures gouvernementales destinées à résorber le chômage.
L'association « Comité pour la formation professionnelle des jeunes chômeurs » (CFPJC), première forme institutionnelle de formation professionnelle des adultes, voit le jour en décembre 1934. En octobre 1935, le ministère du Travail alloue un crédit de 600 000 francs comme subvention pour la création de centres de reclassement professionnel fonctionnant dans les entreprises. Deux ans plus tard, pendant le gouvernement du Front populaire, est créé le Centre scientifique de la main-d'œuvre, situé au 13, rue Paul Chotard, à Paris [ce centre deviendra le Centre d'études et recherches psychotechniques (CERP) en 1946]. À la même époque, la Fédération des travailleurs des métaux affiliée à la CGT ouvre un centre de formation professionnelle, rue d'Angoulême (devenue rue J.-P. Timbaud après la Seconde Guerre mondiale), à l'initiative de son secrétaire général, Ambroise Croizat.
En novembre 1938, un décret-loi, pour lequel le ministère du Travail reçoit une dotation, prévoit l'institution de la formation professionnelle chargée de fournir aux usines travaillant pour la défense nationale la main-d'œuvre qualifiée qui lui fait défaut. Il est complété par le décret-loi du 6 mai 1939 qui institue la Promotion ouvrière et le Centre de recherches professionnelles des chômeurs. Jusqu'en 1946, ce dispositif réglementaire constituera le cadre administratif et financier de la formation professionnelle.
Alfred Carrard, ingénieur suisse, qui avait mis au point une pédagogie analytique, rationnelle et progressive de l'apprentissage professionnel, est sollicité par le ministère du Travail pour adapter sa pédagogie à la formation professionnelle accélérée. Cette méthode, appelée « méthode Carrard », abondamment utilisée pendant la préparation de la guerre, notamment dans les usines d'armement, l'est encore dans les centres de formation professionnelle (CFP) ouverts sous Vichy par le Secrétariat général à la Jeunesse.
Comme l'a montré Bernard Bonnet dans sa thèse sur l'AFPA[2], même si leur statut et leur public sont différents, les centres de formation professionnelle ouverts après la guerre sous la tutelle du ministère du Travail auront recours aux mêmes types d'apprentissage. La continuité est donc ici plus pédagogique qu'administrative, mais elle mérite d'être soulignée, car la méthode Carrard est à la base des apprentissages prodigués ultérieurement. L'ampleur du développement de la formation professionnelle à la Libération n'a pas de commune mesure avec ce qu'elle était avant-guerre, notamment parce qu'elle est dorénavant investie aux niveaux politique, social et syndical.
Au sortir de la guerre, les nécessités de la reconstruction mettent au premier plan les besoins en main-d'œuvre qualifiée. Pour la CGT, qui s'investit grandement dans la reconstruction du pays, l'enjeu de la formation professionnelle accélérée est aussi de former des ouvriers en encourageant la promotion ouvrière en vue de son émancipation. Cette double motivation va faire de la confédération un des acteurs essentiels de la création des centres de FPA. Les grandes lignes politiques définies par le Conseil national de la Résistance, le désir d'unification d'après-guerre, l'état de grâce qui voit la composition d'un gouvernement auquel prennent part les partis les plus orientés vers une politique sociale, créent un climat propice à l'élaboration de ces centres.
Les associations de gestion de la formation professionnelle
En juillet 1945, est créée l'Association pour la formation professionnelle de la main-d'œuvre (AFPMO), dont le siège social est d'abord situé au 60, avenue Victor-Hugo, puis au 6 rue Alfred-Bruneau à Paris, et qui a pour but de promouvoir et d'aider la formation professionnelle de la main-d'œuvre. Son fonctionnement est paritaire et ses moyens d'action vont de « la gestion. L'administration et la direction d'organismes créés ou à créer, en vue du recrutement et de la formation professionnelle de la main-d'œuvre, y compris des cadres », à l'organisation de cours et stages ou à la publication de documents découlant de ses activités.
Mais c'est surtout en 1946 que s'accomplit le grand essor des centres de FPA, dont le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Ambroize Croizat, et le sous-secrétaire d'État au Travail, Marius Patinaud, sont les grands artisans. On peut articuler cet essor en trois temps administratifs : 1) l'arrêté du 8 octobre, créant des commission départementales et une commission nationale de la formation professionnelle accélérée pour les ouvriers du bâtiment ; 2) la circulaire du 6 novembre, relative à l'organisation et à la gestion des centres de formation professionnelle, et enfin 3) le décret n°46-2511 du 9 novembre, précisant la définition de la formation professionnelle comme acquisition d'un métier, reconversion professionnelle ou perfectionnement dans un métier déjà connu en vue d'une promotion.
Chacun de ces temps propose une nouvelle avancée de la formation professionnelle, dans laquelle les commissions nationales et départementales jouent un grand rôle, puisque les dispositifs réglementaires leur permettent d'agréer les créations de centres, qui peuvent dès lors être effectuées au niveau local, y compris par des organisations ouvrières. Les archives du présent fonds sont d'ailleurs susceptibles d'éclairer la naissance de ces commissions sous un jour nouveau puisqu'on en trouve le projet dans une lettre que la Fédération nationale des travailleurs des industries du bâtiment, du bois et des parties similaires (CGT) envoie au sous-secrétaire d'État, Marius Patinaud[3]. Or c'est bien lui qui signe l'arrêté du 8 octobre 1946 créant ces mêmes commissions. De même, la circulaire du 6 novembre 1946, signée par Ambroise Croizat[4], mais qui n'est pas parue au Journal officiel, sert de préambule aux documents d'ouverture de centres qui sont également présents dans le fonds.
En avril 1947, l'AFPMO, qui gère la presque totalité des centres de formation professionnelle du bâtiment, devient l'AFPMO-BTP et transfère son siège au 3, boulevard Kellerman, tandis qu'est créée l'Association pour la formation professionnelle des ouvriers des métaux (AFPOM) chargée de gérer les centres des industries des métaux. L'AFPOM reçoit l'agrément du ministère en mai 1947. Les centres relatifs aux autres industries dépendent de l'Association pour la formation rationnelle de la main-d'œuvre (l'AFRMO, dont l'assemblée constituante a eu lieu en octobre 1946), qui est en outre chargée de juger de la valeur de l'enseignement de l'Institut national de formation des cadres professionnels (INFCP) et du Centre d'études et de recherches psychotechniques (CERP). L'AFPMO-BTP et l'AFPOM sont dirigées chacune par un conseil d'administration paritaire qui regroupe patrons et ouvriers de la profession. La CGT y est largement présente. L'AFRMO fonctionne avec un conseil d'administration regroupant 6 membres de l'administration, 4 patrons et 4 ouvriers. C'est à son siège, rue Dareau à Paris, que s'effectue la formation des moniteurs à la méthode Carrard.
Le décret n°49-39 du 11 janvier 1949[5] supprime les associations gestionnaires à l'exception de l'AFRMO, qui devient donc l'ANIFRMO, et réduit le nombre des centres subventionnés. Nombre d'entre eux sont ainsi subitement fermés. Il s'agit donc, de la part du gouvernement de 1949, d'une décision destinée à reprendre le pouvoir sur les centres de formation professionnelle accélérée qui, grâce aux dispositions réglementaires de 1946, avaient souvent été créés localement, et notamment par des syndiqués CGT.
Cette mise en perspective historique est importante pour comprendre, par la suite, les positions de la CGT au sein de l'ANIFRMO, puis de l'AFPA, et elle éclaire sous un autre jour la création du syndicat national en 1949-1950. La volonté d'écrire l'histoire de la FPA, qu'on retrouve souvent au fil de ses archives, en est un aspect d'autant plus important que le passé des centres de formation professionnelle a été nié lors des célébrations des 40e et 50e anniversaires de l'association en 1989 et en 1999, qui faisaient uniquement référence à la création administrative de l'ANIFRMO et non à la réalité vivante des centres de formation professionnelle dans laquelle la CGT avait joué un grand rôle.
L'Association nationale interprofessionnelle pour la formation rationnelle de la main-d'œuvre (ANIFRMO)
Quoi qu'il en soit, c'est désormais l'ANIFRMO qui va gérer les centres de FPA. Son fonctionnement est tripartite : le conseil d'administration est constitué de 6 représentants de l'administration, 6 représentants des employeurs et 6 représentants des salariés. L'État dispose donc du tiers des sièges, alors qu'il n'avait aucune représentation dans les associations dissoutes. Le siège de l'AFRMO déménage de la rue Dareau et vient occuper les locaux de l'ex-AFPMO, au 3, boulevard Kellerman, à Paris. Il y restera jusqu'en 1966.
La participation de l'État à la gestion des centres de FPA aura au moins un aspect positif : celui de développer peu à peu une mission de service public pour l'association, jusqu'à ce qu'elle devienne, vers les années 1980, un des piliers de la politique gouvernementale de l'emploi.
Pour l'heure, dans les années 1950, l'ANIFRMO continue à développer la méthode pédagogique issue des premiers centres de formation professionnelle accélérée, la fameuse méthode Carrard, dans laquelle l'apprentissage du geste est le socle sur lequel viennent prendre appui les considérations théoriques. La progression « rationnelle » de l'apprentissage est clairement établie par des programmes qui ordonnent les difficultés de manière croissante pour que tout stagiaire y soit préparé à chaque phase de son travail. De plus, un examen psychotechnique préalable sélectionne les candidats en fonction de leurs aptitudes, permet de les orienter et, le cas échéant, de les remettre à niveau pour la formation envisagée s'il s'avère qu'ils ne disposent pas du préalable requis. Ce procédé, qui réduit les échecs et permet un reclassement social pour les personnes en difficulté, sera amplement développé par la suite. L'AFPA est en effet considérée par nombre de ses stagiaires et même de ses salariés comme une bouée de sauvetage et une école de la seconde chance.
Pendant les qui années suivent, au cours desquelles la gestion des centres n'a rien de « rationnel », les problèmes de budget se renouvellent, qui vont parfois jusqu'à la menace de suppression de l'ANIFRMO, faute de subventions suffisantes. Vers le milieu des années 1950, l'association diversifie ses offres de formation face à la crise du bâtiment. La formation professionnelle, qui avait été, durant les premières années, tournée vers la reconstruction du pays et grandement axée sur les métiers du bâtiment, va désormais se développer dans les nouveaux métiers de l'industrie avec, notamment, un essor de la métallurgie, des matières plastiques et de l'électronique.
C'est d'ailleurs à la même époque que le syndicat, en modifiant ses statuts, change de nom et devient, le 1er juin 1955, le Syndicat national du personnel de la formation professionnelle des adultes, champ plus vaste que celui de la formation professionnelle accélérée et qui correspond aussi à l'évolution de la FPA et à son élargissement. Fidèle à ses missions d'émancipation de la classe ouvrière comme à ses débuts, il continue à défendre la formation professionnelle. Les premiers congrès, d'abord parisiens, ont lieu dans les locaux de l'Union des syndicats de la région parisienne (29, boulevard du Temple, 11e arr.), à la Maison des syndicats (33, rue de la Grange-aux-Belles, 10e arr.) ou au siège même de la CGT (213, rue Lafayette, 10e arr.) où est d'ailleurs toujours domicilié le syndicat. À partir de 1963, les congrès sont organisés dans différentes villes de France.
L'Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA)
La stabilisation du budget alloué par les pouvoirs publics au milieu des années 1960 va amener l'expansion de l'ANIFRMO. Les crédits d'investissement augmentent tandis que le nombre de stagiaires s'accroît. C'est dans ce contexte que l'ANIFRMO devient l'Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) à la suite d'une décision prise par l'assemblée générale le 17 décembre 1965. La nouvelle dénomination de l'association s'accompagne d'une redéfinition des statuts, qui doivent entrer en vigueur lors de l'assemblée générale suivante. En février 1966, deux arrêtés, l'un du ministère des Affaires sociales relatif au fonctionnement financier et comptable de l'association, et l'autre du ministère de l'Économie et des Finances, fixent les modalités d'exercice du contrôle économique et financier de l'État. La circulaire n°66-16 du 6 juin 1966[6] relative à l'organisation de la formation professionnelle des adultes établit les rapports entre le ministère des Affaires sociales et l'AFPA. Le siège de celle-ci va déménager du boulevard Kellerman à Paris vers la place de Villiers à Montreuil-sous-Bois. Il y restera jusqu'en 2016 (la place de Villiers étant devenue entre-temps la place du Général-de-Gaulle).
À partir de l'installation dans ce site, qui a été construit spécialement pour l'association, et qui comporte notamment des dispositifs améliorant la vie de ses salariés (comme la crèche ou le restaurant d'entreprise), l'AFPA est dotée d'un véritable lieu d'ancrage. La création du comité d'entreprise par l'arrêté du 3 février 1966[7], le développement des institutions représentatives du personnel, au siège puis dans les centres et les régions, l'institution des commissions paritaires instaurent la vie syndicale au cœur même du fonctionnement de l'association. Le syndicat national CGT y aura bientôt ses propres locaux.
L'AFPA étend ses activités, les ouvre vers le secteur tertiaire duquel, jusqu'ici, elle était restée à l'écart. Elle devient « un moyen permanent propre à l'éducation professionnelle régulière et progressive des travailleurs » et un acteur important de la politique de l'emploi. Au lendemain de 1968, des stages de préformation sont ouverts pour les jeunes chômeurs, et l'Agence nationale pour l'emploi (ANPE) recrute des stagiaires pour l'AFPA. En 1971, la loi instituant le droit à la formation continue, annexée au Code du travail deux ans plus tard, va provoquer d'autres modifications. La formation professionnelle, financée par des entreprises privées pour leurs salariés, entraîne en effet le développement de nouvelles formes de stages de perfectionnement et de nouvelles spécialités, comme l'hôtellerie, la restauration, les transports ou l'audiovisuel. Grâce à sa pédagogie, l'AFPA obtient des taux de réussite excellents. Elle offre également des services de restauration et d'hébergement aux stagiaires et accomplit pleinement sa mission de service public. Celle-ci est clairement affirmée dans une note d'orientation du ministère du Travail dans les années 1980 : « Le service public de l'emploi est constitué par l'ensemble des institutions publiques ou parapubliques intervenant dans le fonctionnement du marché du travail, soit environ 30 000 personnes aujourd'hui réparties en trois pôles d'importance comparable, Agence nationale pour l'emploi, Association pour la formation professionnelle des adultes, services extérieurs du travail et de l'emploi. »
Avec les années 1980 et les premières lois de décentralisation, les écarts entre les missions imparties à l'AFPA et les moyens limités qui lui sont alloués pour les accomplir, provoquent des tensions. Le syndicat CGT-AFPA en propose des analyses dans des publications comme « Éléments de réflexion sur la décentralisation de l'AFPA dans le cadre du service public de l'emploi » (novembre 1981). Plus que jamais attaché à défendre la mission de service public qui est celle de l'AFPA, il propose des actions qui vont en ce sens, en luttant par exemple, contre les réductions d'effectifs draconiennes à la fin des 1980. La réforme de 1996, qui restructure totalement l'association et le statut de son personnel, donne lieu à des grèves et pétitions. Les contrats de progrès, passés entre l'État et l'AFPA à partir du milieu des années 1990, l'apparition du management, la prééminence de la gestion et le désengagement de l'État, issu du double mouvement de déconcentration et décentralisation, changent profondément l'AFPA.
De l' « Association » à l' « Agence » nationale pour la formation professionnelle des adultes
La dernière grande modification intervient avec la suppression, en 2017, du statut associatif. L'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes, qui est désormais un établissement public à caractère industriel et commercial, est soumise aux lois du marché et de la concurrence pour la mise en œuvre de ses programmes de formation. Ce profond bouleversement a été accentué par le déménagement du siège de l'AFPA, en novembre 2016, de son site « historique » vers la tour Cityscope (toujours à Montreuil-sous-Bois). C'est en prévision de ce déménagement que le syndicat s'est inquiété du devenir de ses archives et a souhaité en faire le classement et en assurer la sauvegarde.
[1] Cf. article 530J/4.
[2] Cf. Bibliographie.
[3] Cf. article 530J/1.
[4] Cf. article 530J/1.
[5] Cf. article 530J/2.
[6] Cf. article 530J/3.
[7] Cf. article 530J/96.