Présentation du fonds

Cotes extrêmes : 261J1/1-261J1/307	Accroissements : Les archives présentées ici concernent les congrès tenus depuis 1959 jusqu'à 1996. Celles des congrès postérieurs sont pour l'essentiel toujours conservées par le service d'archives du PCF, bien qu'une partie marginale ait été d'ores et déjà prise en charge par les Archives départementales.   Les archives présentées ici concernent les congrès tenus depuis 1959 jusqu'à 1996. Celles des congrès postérieurs sont pour l'essentiel toujours conservées par le service d'archives du PCF, bien qu'une partie marginale ait été d'ores et déjà prise en charge par les Archives départementales.
Année de publication : 2020	Nombre d'éléments : 28 ml
Dates extrêmes : 1959-1996

Historique de la conservation

Les archives des congrès, initialement conservées dans les locaux de la direction nationale de ce parti place du colonel Fabien, ont été prises en charge par les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis en 2005. Elles avaient été remises avant leur transfert au service d'archives de la...

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Les archives des congrès, initialement conservées dans les locaux de la direction nationale de ce parti place du colonel Fabien, ont été prises en charge par les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis en 2005. Elles avaient été remises avant leur transfert au service d'archives de la direction nationale du PCF.

 

• Présentation du producteur

  Le congrès est statutairement la plus haute instance du Parti communiste français (PCF). La consultation des statuts de l'organisation politique depuis le milieu des années 1920 montre une grande stabilité du rôle qui lui est attribué. Ainsi, ceux adoptés par le congrès de Lille de 1926, qui...

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  Le congrès est statutairement la plus haute instance du Parti communiste français (PCF). La consultation des statuts de l'organisation politique depuis le milieu des années 1920 montre une grande stabilité du rôle qui lui est attribué. Ainsi, ceux adoptés par le congrès de Lille de 1926, qui marquent durablement le fonctionnement interne du parti suite à sa période dite de « bolchevisation », précisent que, convoqué par le comité central avec l'accord de l'exécutif de l'Internationale communiste, il « entend les rapports du comité central et de la commission de contrôle », « tranche les questions ayant trait au programme du parti », « prend les décisions sur toutes les questions politiques, tactiques et d'organisation » et « élit le comité central, la commission centrale de contrôle ». La rédaction de statuts de 1976 est sensiblement identique à celle de 1926. Il est alors indiqué que le congrès « discute et se prononce sur les rapports du comité central et de la commission centrale de contrôle financier », « décide des questions se rapportant au programme du parti et éventuellement aux statuts du parti », « prend des décisions sur toutes les questions intéressant l'activité politique, idéologique et d'organisation du parti », « élit le comité central et la commission centrale de contrôle financier chargée de contrôler les finances, la comptabilité, les entreprises du parti ». La référence à l'Internationale communiste dissoute en 1943 disparaît en revanche en 1945.

  La périodicité théorique de la tenue des congrès évolue dans le temps : un an dans les statuts de 1926, deux ans dans ceux de 1937 et de 1945, deux ans « en principe » en 1964 puis trois ans en 1972. Peuvent également être convoqués, sur l'initiative du seul comité central en 1945, puis du comité central ou de la majorité des fédérations à partir de 1964, des congrès extraordinaires.

  Le congrès constitue pour le parti un rituel démocratique où les différents échelons dirigeants sont mobilisés pour ouvrir et encadrer une discussion militante dont l'objectif final est la rédaction et l'adoption d'un texte visant à fixer la stratégie et la tactique du parti jusqu'au congrès suivant. Le processus menant au congrès s'engage par la désignation par le comité central de commissions chargées de la rédaction du ou des projets de documents amenés à être discutés dans le parti, qu'il s'agisse, systématiquement, du document d'orientation (thèse ou résolution) ou plus irrégulièrement des statuts ou du programme. Ce document de travail, qui fixe les limites de la discussion, est soumis aux militants dans le cadre des assemblées générales et conférences des structures territoriales du parti (cellules d'entreprises, rayons, régions puis cellules, sections, régions dans l'entre-deux-guerres ; cellules, sections, fédérations départementales à partir de 1945 jusqu'en 1996). Dans un mouvement ascendant depuis les cellules réunies en assemblées sont désignés les délégués aux conférences puis au congrès national. Les amendements examinés sont transmis et sélectionnés dans un même mouvement, ceux discutés lors des conférences fédérales étant centralisés nationalement et mis à disposition de la ou des commissions chargées d'élaborer le ou les projets de documents soumis au vote final des délégués titulaires siégeant au congrès national. Parallèlement, une tribune de discussion ouverte dans la presse communiste accueille des contributions individuelles comme collectives. Le congrès et sa phase préparatoire sont, enfin, un temps de renouvellement des directions à tous les échelons du parti, selon des procédures statutaires évolutives.

  Le temps du congrès, moment privilégié de médiatisation du parti à l'instar de la Fête de l'Humanité, finalise le processus par une discussion du ou des projets de textes soumis aux congressistes organisés en délégations fédérales. Introduit et conclu par le secrétaire général, il est ponctué de rapports politiques et financier présentés par des dirigeants nationaux ou des présidents de commissions élues par le congrès (notamment la commission des mandats chargée d'examiner la composition socio-professionnelle du congrès). Le dernier jour du congrès est consacré à l'adoption du ou des documents discutés et amendés, ainsi que par l'élection du comité central et de la commission centrale de contrôle financier. En son sein, le comité central désigne un bureau politique, un secrétariat et une commission centrale de contrôle politique chargée de la gestion des conflits. Quotidiennement, la presse communiste se fait l'écho des débats par le biais de comptes rendus. Un document de synthèse, publié en général par la revue les Cahiers du communisme à l'issue du congrès, réunit les différents rapports présentés, un compte rendu synthétique des débats et les documents adoptés. Il présente également la liste des membres du comité central élu. De manière non systématique, l'Humanité des jours suivant le congrès publie la répartition des tâches à la direction du parti et le nom des dirigeants responsables pour leur réalisation de collectifs de travail. Le congrès est également un marqueur du rayonnement national comme international du parti, à travers le nombre d'organisations et de personnalités françaises et étrangères invitées, réunies pour ces dernières à l'occasion d'une « soirée internationale ».

  Le processus présenté ici est globalement opérant jusqu'au 28ème congrès de 1994, marqué par un changement de dénomination des instances nationales de direction, le comité central devenant comité national et le bureau politique bureau national. La préparation du 29ème congrès de 1996, celui de la « mutation », connaît en revanche quelques modifications, une première phase étant dédiée à la consultation des militants par le biais d'un recueil de contributions censées nourrir le travail de la commission en charge de la rédaction du projet de document, une seconde phase épousant les contours traditionnels de la discussion préparatoire.

  L'organisation des congrès est sur la période une prérogative du secrétariat administratif devenu coordination du travail du secrétariat et du bureau politique en 1970 du PCF. Celui-ci, dirigé par Gaston Plissonnier (1954-1990), puis par Gisèle Moreau, supervise la liaison de la direction nationale avec les fédérations pour la phase préparatoire, et coordonne l'activité des collectifs de travail rattachés au comité central mobilisés sur les aspects techniques de l'organisation. Il n'est donc pas surprenant de trouver de nombreux dossiers relatifs à cette fonction annotés par Ghislaine Villiers, secrétaire de Gaston Plissonnier, dont l'écriture est caractéristique (voir annexes).

   

• Présentation du contenu

  Il est avant tout notable que depuis la Libération jusqu'à l'année 1959 et a fortiori pour l'entre-deux-guerres, moment de destruction et de dispersion de ses archives , le PCF n'a pas conservé les archives de ses congrès, parce qu'il ne l'a pas jugé utile ou parce qu'elles ont été détruites...

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  Il est avant tout notable que depuis la Libération jusqu'à l'année 1959 et a fortiori pour l'entre-deux-guerres, moment de destruction et de dispersion de ses archives , le PCF n'a pas conservé les archives de ses congrès, parce qu'il ne l'a pas jugé utile ou parce qu'elles ont été détruites accidentellement ou par négligence. Celles-ci ne constituent par ailleurs pas une série homogène, le volume d'archives ayant été conservé croissant avec le temps. Si celles afférentes au 15ème congrès se résument à un unique dossier essentiellement consacré à l'organisation et à la tenue du congrès, celles produites dans le cadre du 29ème congrès en comptent 56. Si ce contenu hétérogène n'autorise pas une présentation globale du corpus pertinente pour chaque congrès, la méthode de classement adoptée est calquée sur ses différentes phases : discussions et décisions de la direction nationale décidant de la tenue du congrès et accompagnant son organisation, activités de la ou des commissions en charge de la rédaction des documents préparatoires, discussion interne (conférences fédérales, tribune de discussion), organisation matérielle puis tenue effective du congrès, etc.

  Pour les congrès les plus renseignés, les archives constituées, à travers notamment des amendements remontés des fédérations portant la mention des cellules et sections les ayant émis, peuvent constituer une source pour considérer d'un point de vue nouveau l'implantation territoriale du parti, ainsi que la vitalité de ses structures locales et des effectifs militants réellement mobilisés par la discussion. Les textes soumis à la tribune de discussion sont par ailleurs, pour certains congrès, conservés intégralement, qu'ils soient parus ou non dans la presse communiste. Ceux-ci permettent non seulement d'appréhender le cadre politique présidant à la sélection de textes potentiellement critiques, mais également l'usage fait par la direction nationale de cet espace de débat maîtrisé. Dans son article intitulé « La gauche marxiste, le libéralisme politique et la libéralisation des mœurs », Danielle Tartakowsky utilise ainsi cette matière pour analyser les débats internes consécutifs à l'ouverture d'une discussion sur la question de la morale, à l'occasion du 22ème congrès de 1976[1].

  Ces archives éclairent également sur la maîtrise par la direction nationale sortante, et en premier lieu par le secrétaire général, d'un des moments clés du processus décisionnel au sein d'un parti fondé sur la notion de discipline n'accordant pas de représentativité à ses oppositions internes. Les congrès apparaissent en effet comme des temps favorables à l'expression de courants critiques potentiellement porteurs de tensions internes, voire de dissidences susceptibles en ces occasions de mesurer leur audience. In fine, ces archives permettent de discuter les contours et la mise en œuvre pratique de l'une des notions centrales présidant à l'organisation du parti, celle de centralisme démocratique qui peut être un outil de gestion de la contestation interne jusqu'à son abandon en 1994 (28ème congrès).

   

  [1] Tartakowsky Danielle, "La gauche marxiste, le libéralisme politique et la libération des moeurs", pp. 319-343, in Margairaz (Michel) et Tartakowsky (Danielle), 1968 entre libération et libéralisation: la grande bifurcation. Presse universitaires de Rennes, 2010, 348 p.

   

• Mode de classement

  Les archives des congrès ont été classées chronologiquement, depuis le plus ancien jusqu'au plus récent. Pour chaque congrès, le classement des dossiers a été calqué sur les différentes phases menant jusqu'à sa tenue effective : discussions et décisions des instances de direction relatives à sa...

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  Les archives des congrès ont été classées chronologiquement, depuis le plus ancien jusqu'au plus récent. Pour chaque congrès, le classement des dossiers a été calqué sur les différentes phases menant jusqu'à sa tenue effective : discussions et décisions des instances de direction relatives à sa convocation et à l'accompagnement de son organisation, activité des commissions chargées de la rédaction des documents préparatoires, tribune de discussion, réunions des conférences fédérales, organisation matérielle et technique du congrès, tenue des débats, élection des instances de direction. 

   

• Modalités d'accès

  Délai de communicabilité établi à 25 ans, excepté pour les documents comportant des renseignements concernant la vie privée (délai porté à 50 ans).

• Modalités de reproductions

  Reproduction des documents soumise à l'autorisation du déposant.

• Bibliographie

  Documents publiés à l'issue des congrès :

  Parti communiste français, décembre 1937-juin 1945, du Congrès d'Arles au Congrès de Paris. Sept ans de luttes ardentes au service du peuple contre l'hitlérisme et le fascisme, pour une France libre, démocratique et indépendante. Rapports du Comité...

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  Documents publiés à l'issue des congrès :

  Parti communiste français, décembre 1937-juin 1945, du Congrès d'Arles au Congrès de Paris. Sept ans de luttes ardentes au service du peuple contre l'hitlérisme et le fascisme, pour une France libre, démocratique et indépendante. Rapports du Comité central pour le 10ème Congrès national du Parti communiste français, avec documents et graphiques, Paris, 26-27-28-29-30 juin 1945, Parti communiste français, Paris, 1946, 217 p. ill. Cote : 8°/4502

  Les travaux du 13ème Congrès du Parti communiste français, Cahiers du Communisme, juin-juillet 1954, nos 6-7, Ivry, 3-7 juin 1954, comité central du Parti communiste français, Paris, 1954, pp. 621-968. ill. Cote : 8°/4503

  14ème Congrès du Parti communiste français, Le Havre, 18-21 juillet 1956. Rapports, interventions et documents, Cahiers du Communisme, n° spécial, juillet-août 1956, comité central du Parti communiste français, Paris, 1956, 424 p., pl. Cote : 8°/4504

  15ème Congrès du Parti communiste français. Ivry, 24-28 juin 1959. Rapports, interventions et documents, illustré de 12 hors-texte, Cahiers du Communisme, n° spécial, juillet-août 1959, comité central du Parti communiste français, Paris, 1959, 574 p., pl. Cote : 8°/4505

  16ème Congrès du Parti communiste français, Saint-Denis, 11-14 mai 1961. Rapports, interventions et documents, illustré de 24 hors-texte, Cahiers du Communisme, n° spécial, juin 1961, comité central du Parti communiste français, Paris, 1961, 623 p. ill., pl. Cote : 8°/4506

  17ème Congrès du Parti communiste français. Paris, 14-17 mai 1964. Rapports, interventions et documents, illustré de 24 hors-texte, Cahiers du Communisme, n° spécial, juin-juillet 1964, nos 6-7, comité central du Parti communiste français, Paris, 1964, 573 p., pl. Cote : 8°/4507

  18ème Congrès du Parti communiste français. Levallois-Perret, 4-8 janvier 1967. Rapports, interventions et documents, illustrations hors-texte, Cahiers du Communisme, n° spécial, février-mars 1967, nos 2-3, comité central du Parti communiste français, Paris, 1967, 607 p. ill., pl. Cote : 8°/4508

  19ème Congrès du Parti communiste français. Nanterre, 4-8 février 1970. Rapports, interventions et documents, salutations et messages, Cahiers du Communisme, n° spécial, février-mars 1970, nos 2-3, comité central du Parti communiste français, Paris, 1970, 594 p. ill. Cote : 8°/4509

  20ème Congrès du Parti communiste français. Saint-Ouen, 13-17 décembre 1972. Rapports, interventions et documents, salutations et messages, Cahiers du Communisme, n° spécial, janvier-février 1973, comité central du Parti communiste français, Paris, 1973, 566 p. ill. Cote : 8°/4510

  21ème Congrès extraordinaire du PCF. Union du peuple de France pour le changement démocratique. Vitry, 24-27 octobre 1974, Cahiers du Communisme, n° 11, novembre 1974, comité central du Parti communiste français, Paris, 1974, 141 p. Cote : 8°/4511

  22ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 4-8 février 1976. Rapports, interventions et documents, salutations et messages, Cahiers du Communisme, février-mars 1976, comité central du Parti communiste français, Paris, 1976, 506 p. ill. Cote : 8°/4512

  Le socialisme pour la France. 22ème Congrès du parti communiste français, 4-8 février 1976, Éd. sociales, Paris, 1976, 217 p. ill. en noir. et en coul., couv. ill. en coul. Cote : 16°/604

  23ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 9-13 mai 1979. Rapports, interventions, résolutions, statuts, documents, salutations et messages, Cahiers du Communisme, juin-juillet 1979, comité central du Parti communiste français, Paris, 1979, 528 p. ill. Cote : 8°/4513

  24ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 3-7 février 1982. Rapports, interventions, résolutions, documents, salutations des délégations étrangères, Cahiers du Communisme, février-mars 1982, nos 2-3, Comité central du Parti communiste français, Paris, 1982, 495 p. ill. Cote : 8°/4514

  Construire le socialisme aux couleurs de la France. 24ème congrès du Parti communiste français, Saint-Ouen, 3 au 7 février 1982, Éd. sociales, Paris, 1982, 229 p. ill. Cote : 16°/1651

  25ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 6-10 février 1985. Rapports, interventions, résolutions, documents, salutations des délégations étrangères et messages, Cahiers du Communisme, mars-avril 1985, nos 3-4, comité central du Parti communiste français, Paris, 1985, 511 p. ill. Cote : 8°/4515

  26ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 2-6 décembre 1987. Rapports, interventions des délégués, résolution, documents, interventions et messages des délégations étrangères, Cahiers du Communisme, décembre 1987-janvier 1988, comité central du Parti communiste français, Paris, 1987, 511 p. ill. Cote : 8°/4516

  27ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis (Centre sportif de Saint-Ouen) 18-22 décembre 1990. Rapports, interventions des délégués, résolution, documents, élection des organismes dirigeants, messages des délégations étrangères, Cahiers du Communisme, janvier-février 1990 / Parti communiste français, Paris, comité central du Parti communiste français, 1990, 535 p. ill., couv. ill. Cote : 8°/4517

  28ème Congrès du Parti communiste français. L'Île-Saint-Denis, Centre sportif de Saint-Ouen, 25-29 janvier 1994. Rapports, discussion, manifeste, programme, statuts, élection des organismes de direction, salutations aux délégations et personnalités étrangères, Cahiers du Communisme, février-mars 1994, nos 2-3, comité central du Parti communiste français, Paris, 1994, 415 p. ill. Cote : 8°/4518

  Les textes et les votes du 30ème Congrès du Parti communiste français, Martigues, 23-26 mars 2000, [s.l.] : [s.n.], 2000, 64 p. ill., couv. ill. Cote : 8°/5182

   

  Articles :

  Lagache Richard, « La méthode démocratique des congrès du PCF. Une interview de Georges Cogniot recueillie par Richard Lagache », Cahiers d'histoire de l'Institut Maurice Thorez, n° 1, novembre-décembre 1972, pp. 119-130. Cote : 2941 Per 3 [texte publié en annexe de ce répertoire]

  Consultable en ligne :

  https://pandor.u-bourgogne.fr/img-viewer/CH/CH_1972_4T_n1_art08/iipviewer.html?base=mets&np=CH_1972_4T_n1_123.jpg&nd=CH_1972_4T_n1_134.jpg&monoid=FRMSH021_00008_de-383&treq=&vcontext=mets&ns=CH_1972_4T_n1_123.jpg

  Tartakowsky Danielle, « La gauche marxiste, le libéralisme politique et la libération des mœurs », pp. 319-343, in Margairaz (Michel) et Tartakowsky (Danielle), 1968 entre libération et libéralisation: la grande bifurcation. Presse universitaires de Rennes, 2010, 348 p. Cote : 8°/5695

   

• Modalités d'entrée

  Dépôt dans le cadre de la convention du 18/12/2003 entre le Parti communiste français et le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis.